Pour l'éternité...

 Vous attendiez la suite? La voici! 

Bonne lecture ^^

Pour l'éternité... 6ème partie :

Luna venait de découvrir la salle de torture du château. Des cadavres momifiés étaient suspendu dans des cages au plafond, d’autre était enchainer aux murs par les poignets, les chevilles et même par le cou. Plusieurs étaient restés avec la bouche ouverte comme criant d’effroi. Tous avaient deux petits trous au niveau de la jugulaire et de nombreuses entailles. Le sol était couvert de sangs séchés et dans un coin, sur une table, trôner des instruments de tortures et des flocons en tout genre qui, à priori, avaient contenu du sang.

C’est à ce moment-là qu’Ajysyt apparut dans l’entrebâillure de la porte. La fillette était horrifier : sa bouche était grande ouverte et ses cheveux étaient plus en batailles que jamais et sentaient le sang tourné. Ajysyt en eu la nausée. Il aurait dû nettoyer cette salle depuis des centaines d’années.

Il prit la fillette dans ses bras pour la calmer, mais Ficelle se débattit et s’enfuit dans les étages supérieurs.

Ajysyt la suivis. La fillette complétement apeuré entendant le vampire là suivre se mis à courir plus vite, mais elle manqua une marche et se tordis la cheville. Ajysyt la rattrapa et essaya de la calmer en lui disant des mots réconfortant avant qu’elle ne se blesse d’avantage, mais ses efforts restaient sans résultat et la petite se mis à pleurer.

« Clame toi, je suis là. » lui dit pour la 5^ème fois le vampire, mais cela n’eut d’autre effet que de faire pleurer d’avantage l’enfant. A bout de patience et ne sachant que faire, Ajysyt emmena la fillette à l’étage où il l’allongea sur le lit de sa chambre. Après quelques minutes la petite s’était endormis. Ajysyt examina sa cheville. Elle n’était heureusement que tordu et il pouvait la soigner au château sans devoir l’emmener à l’hôpital. Il là lui banda et s’assit à côté de la fillette.

Elle sentait terriblement bon. Il n’avait jamais été attiré par le sang humain, mais son sang à elle l’appeler. Comme il l’avait dit à la fillette, il avait vécus 17ans dans un orphelinat : ses parents, le comte et la comtesse Dragonis, avaient aménagé un orphelinat dans une aile du château.

Tout allé pour le mieux, mais un jour un certain Vladimir arriva. Il dit à ses parents qu’il voulait adopter un enfant. Mais c’était pour mieux les leurrer. Une fois dans l’orphelinat, Vladimir ferma toutes les issus. Il les tua tous, enfants et adultes. Quant à Ajysyt, le vampire l’enferma dans le sous-sol du château, dans une des cages accrochées au plafond dans la salle où il avait retrouvé Gabriella. Il dû assister impuissant à la mort de nombreuses personnes dans sa prison.

Ajysyt ne sut pas pourquoi le vampire l’avait gardé en vie si longtemps, mais un jour il vint le sortir de sa cage et le mordis à la jugulaire. Il le vida quasiment de tout son sang puis le jeta dans un coin avant de sortir de la pièce. Le vampire ne revient pas avant un certain temps. Le jeune homme ayant été privé de nourriture depuis un certain  temps, avait faim, très faim.

Quand le vampire revint, il ne compris pas ce qui lui arriva quand Ajysyt lui bondit dessus et bu avidement son sang. Sa faim apaisée, Ajysyt voulu sortir. Mais le soleil lui brûla les yeux. Il comprit alors qu’il avait été métamorphosé. Il décida t’attendre la nuit.

Une fois la nuit venu, il allât dans l’aile de l’orphelinat. Le vampire n’avait pas pris la peine d’enterrer les corps et cela puer la charogne. Ajysyt décida de rendre hommages à ses parents et leurs petits protégés et les enterra dans la rosserais, là où sa mère aimer temps passer son temps.

Il avait survécut pendant 682ans en se nourrissant de sang animal dans les forêts du domaine et il s’était remis petit à petit à la civilisation, dont notamment en investissant dans du matériel informatique et en acheter des livres de toute sorte. Il sortait de temps en temps en ville mais c’était pour aller travailler au musée de la ville ou venir admirer l’océan.

Perdu dans ces réflexions, il ne vit pas le temps passer. L’horloge sonna le tirant de ses réflexions. Il s’apprêta à descendre quand Gabriella se réveilla.